Les bla-bla

Les blablas de la présidente d’LSF / A toutes les taupes de la PA…

Un jour…

Un jour je suis tombée en amour et plus que ça encore.

C’était il y a longtemps, je suis tombée de haut, dans un puits sans fond

Tout au fond avec eux, un à un je les remonte, un à un ils me poursuivent.

Un jour, j’ai pris un tournant à cent degrés, c’était il y a 20 ans

C’est drôle comme la vie peut basculer et comme elle peut vite passer

Comme un jour, une rencontre peut la changer, on a beau lutter, c’est une folle emprise.

Elle s’appelait Deva ma première galga. J’ai été foudroyée par cet amour fou, inconditionnel et je suis partie avec elle pour une longue croisade.

Je l’aimais tant qu’elle ne m’a pas suffi, chaque jour dans ses yeux je voyais toute la souffrance des galgos, je pensais à ses frères de misère et je souffrais avec elle.

Mal, si mal d’imaginer que ces êtres sans défenses et si sensibles pouvaient être à ce point martyrisés et sacrifiés au nom d’une tradition ancestrale.

Alors j’ai pris mon bâton de pèlerin et j’ai commencé à marcher sur leur chemin.

Pas à pas, j’ai franchi les obstacles, je suis entrée dans le sombre monde de la protection animale, celui que j’idéalisais et qui n’est en réalité que rivalité et méchanceté.

On vous massacre, on vous trahi, on vous humilie, on vous diffame à la moindre faille, à la moindre occasion, tout est bon..

Et puis, quand vous avez la tête sous l’eau, on vous appuie dessus pour vous noyer. Aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, c’est pire encore avec toutes les vieilles rombières en déroute de la PA, qui n’ont en elles que haine et vengeance et se jettent sur vous pour vous bouffer, comme des hyènes assoiffées de sang.

Rien ni personne n’aurait pu m’arrêter même dans les moments les plus sombres, toujours la rage vrillée au cœur je me suis relevée, pour eux, pour les galgos.

Ce texte je ne l’ai pas écrit pour moi parce qu’aujourd’hui je n’ai plus peur, je me sens forte et fière de mon engagement pour eux, quoi qu’on dise ou quoi qu’on fasse, rien ne pourra jamais m’anéantir ni détruire tout ce que j’ai construit.

Ce texte je l’ai écrit pour l’ex président du CREL qui vient de subir, ce que je ne souhaite à personne pour en avoir moi-même fait les frais et à plusieurs reprises. La diffamation et la haine sur les réseaux sociaux c’est terrible, ça vous brise, ça vous tue, c’est un viol intérieur. Tous ces vautours qui vous tournent autour et qui se jettent sur vous comme les mouches sur la merde pour vous broyer à coups de propos diffamatoires, de calomnies, à coups d’horreurs et de mensonges. C’est pire que ce que vous pouvez imaginer de subir ça, personne ne mérite cela.

Aujourd’hui, publiquement, je renouvelle mon soutien à l’ex président du CREL, qui est actuellement en Guadeloupe pour une mission humanitaire en tant que soignant.

Il lutte dans la vraie vie pour sauver des vies pendant que d’autres sont bien confortablement installés dans la leur, qui doit être bien pitoyable, attendant la moindre occasion pour sortir de leur trou à rats et se faire valoir sur la toile pour briller de mille feux, comme si elles étaient importantes, comme au temps des années folles…

Pauvre monde de la protection animale, pauvres femmes en déroute, pauvres femmes tout court, les toutes neuves, celles qui se sentent pousser des ailes et qui n’ont pas encore bouffé la poussière, ne vous inquiétez pas votre tour viendra et vous constaterez bientôt que la place n’est pas si bonne que ça…

A toi Jérôme, je te renouvelle mon soutien, ton parcours en PA a été honorable, il mérite le respect .

A toutes les vieilles taupes en déroute de la PA qui sont sorties de terre pour te tuer et pour tuer le CREL, vous êtes pitoyables et j’ai presque de la compassion pour vous, je vous plains…

Ce dont je suis fière aujourd’hui c’est ne pas avoir vendu mon âme au diable.

21 réflexions sur “Les blablas de la présidente d’LSF / A toutes les taupes de la PA…

  • les centaines de galgos que vous avez, par votre action, sauvés de l’enfer témoignent de l’honnêteté et l’efficacité de votre action. Notre MAGUY vous doit le bonheur qu’elle vit chaque jour a nos côtés depuis plus de 8 ans. Le reste……l’avis des autres …etc n’a que peu d’importance .Comme disaient les anciens « on n’arrête plus facilement un fleuve de couler qu’une langue de parler »

  • Bah.. Qu’on fasse bien ou mal, qu’on se salisse les mains ou qu’on reste là à regarder, on est toujours critiqué, jugé. Kes réseaux sociaux ? Des torches culs pour des pauvres cons qui étalent leur vie ou flingue celle des autres, car leur vie à eux se limite à baver derrière son écran,. Des inutiles à la société, comme je dis. On vous emmerde quand vous avez un chien un chat, quand vous demandez conseil que face de bouc, y’a toujours la grain de sel qui est la, à ouvrir sa gueule pour rien dire, ou juger sans connaître. Les trous de balle qui vois dise quoi faire, les y’a qu’à faut qu’on, mais qui se défilent quand faut bouger son cul. Allez, detournons nous des ces gens, sans personnalité, qui se cachent derrière leur réseaux, sans conversation, sans idée, sans….. Continuez ce que vous faites, les plus a plaindre son les victimes que vous sauvez. Les autres ne son victime que de leur connerie et méchanceté.

  • il n’était plus aller sur les réseaux sociaux il y a un ramassis de gens horribles il faut les laisser à leur delirw

  • annie legagneux

    Je ne milite pas dans la protection animale , je n’en aurais las la carrure mais j’ai un profond respect pour les valeurs que vous défendez ,Odile, à LSF.
    Alors je soutiens votre propos et l’action de l’ancien président du CREL.
    Nous sommes si heureux d’avoir, grâce à vous et à tous les membres actifs de LSF,des refuges en Espagne, adopté trois galgas si uniques et avoir aussi contribuer à sauver quelques uns de ces loulous car il ne faut pas oublier qu’il s’agit de sauvetage. Nous rencontrons aussi sur notre route des Humains formidables aussi sensibles à la misère humaine qu’à la misère animale car il faut battre en brèche le fait que ceux qui sont concernés par la maltraitance animale sont misanthropes. ce n’est pas le cas et l’amour et le respect des quatre pattes va le plus souvent de pair avec la bienveillance envers nos congénères. Il ne faut pas désespérer…et rester fidèle à ses valeurs. Merci pour votre action.

  • Gaultier Christine

    Odile, j’ai un grand respect pour vous, pour votre courage et votre engagement, pour ce que vous faites pour eux. Respect aussi à vos compagnons de route et aux soignants de la FBM. J’ai mon calendrier dans ma cuisine, et chaque jour je pense à eux, à leur souffrance. Malheureusement, je ne peux pas adopter, mais je contribue un peu par des dons et parrainages, se sont mes petits quand même. Courage Odile, ne changez rien, votre route est droite et belle.
    Christine

  • Dekeuwer

    La critique est aisée, mais l’art est difficile….Locution proverbiale datant de 1732…A cette époque ces diffamateurs s’appelaient  » des corbeaux » . Tu vois Odile, de nos jours l’humain ne s’est pas amélioré !! Des taupes et des hyènes il y en a à gogo cachées sur les réseaux sociaux ! Respect à toi Odile, respect à l’ex-président du C.R.E.L !

Commentaires fermés.