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Ce n’était qu’un chien, mais c’était le mien…Lévriers sans Frontières

Le grand vide après lui…

La mort d’un chien n’est pas une simple absence, c’est un silence qui s’installe au plus profond de l’âme.
C’est une blessure invisible que le temps n’efface pas, un écho douloureux dans le cœur de celui qui l’a aimé.

Quand il s’en va, la maison perd sa lumière.
Les pièces paraissent plus grandes, le silence plus lourd.
On cherche encore du regard cette ombre familière qui suivait chacun de nos pas,
on tend la main vers le vide en croyant sentir son museau,
et le monde semble soudain un peu plus froid.

Un chien, c’est la fidélité jusqu’à son dernier souffle.
Il ne juge pas nos faiblesses, ne retient pas nos erreurs.
Il aime d’un amour pur, sans condition, sans détour.

Il ne trahit pas.
Il nous regarde comme si nous étions tout son univers,
et, en vérité, il devient le nôtre.

Sa présence, c’était la chaleur d’un foyer,
le réconfort d’un cœur qui comprend sans parler,
la douceur d’un regard qui pardonne tout.
Dans ses yeux, il y avait une tendresse que peu d’êtres savent donner.

Quand il part, il laisse derrière lui un vide immense,
un vide que rien ne comble, pas même le temps.
On croit apprendre à vivre sans lui,
mais au fond, on continue simplement à vivre avec son absence.

Certains diront : ce n’était qu’un chien.
Mais ceux qui ont aimé savent.
Ils savent que c’était bien plus qu’un animal,
c’était une âme fidèle, un compagnon silencieux,
un amour inconditionnel dans un monde trop souvent conditionné.

Et dans le silence qu’il laisse,
il reste son souvenir,
pur, indestructible,
comme un battement de cœur gravé à jamais dans le nôtre.

À tous mes amours partis, et qui resteront à jamais des cicatrices ouvertes dans mon cœur brisé…

Par Odile Brochot pour Lévriers sans Frontières

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